L’Organisation mondiale de la santé a publié mercredi un avis avertissant les professionnels de la santé de suivre les instructions des tests PCR pour le coronavirus pour éviter d’obtenir de faux résultats positifs.
L’avis a été publié une heure seulement après que le président Joe Biden a prêté serment, ce qui a amené certains observateurs à remettre en question le moment de la libération. Si les tests PCR entraînent des faux positifs et que ces informations sont maintenant utilisées pour atténuer les grands nombres de positivité, le nombre de décomptes de cas commencera à baisser.
L’optique d’un nombre décroissant de cas de COVID serait une aubaine pour le lancement de l’administration Biden.
La nouvelle directive stipule que «l’OMS rappelle aux utilisateurs de DIV que la prévalence de la maladie modifie la valeur prédictive des résultats des tests; à mesure que la prévalence de la maladie diminue, le risque de faux positifs augmente (2)». L’avis se lit comme suit: “Cela signifie que la probabilité qu’une personne ayant un résultat positif (SRAS-CoV-2 détecté) soit réellement infectée par le SRAS-CoV-2 diminue à mesure que la prévalence diminue, quelle que soit la spécificité revendiquée.
L’ancien président Donald Trump a été fortement critiqué pour sa gestion de la pandémie de coronavirus, les États-Unis étant en tête du monde à la fois pour le nombre total de cas et le nombre total de décès, mais pas par habitant, selon les statistiques officielles.
Un gros problème pour Trump avait été l’augmentation continue du nombre de cas de COVID. Si beaucoup de ces cas étaient établis comme existants à l’aide de tests PCR qui aboutissaient à des faux positifs, cela signifierait que le nombre de cas pour lequel Trump a été critiqué n’était pas un chiffre factuel.
Un certain nombre de partisans de Donald Trump ont allégué que l’impact de la pandémie de coronavirus était exagéré dans le but de nuire à sa réputation dans la perspective des élections de 2020 et de l’inauguration ultérieure de Joe Biden. Bien que ces allégations n’aient pas été prouvées, la récente notification de l’OMS amplifiera probablement encore ces arguments.